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BIOGRAPHIE DE HENRI SYLVAIN ANDRE BARTHES |
( Sources : Gallica
- Service historique de Défense- dossier de résistant GR 16 P 36012) |
à confirmer - Homonyme ? |
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Né le 6 mai 1905 à Latour-de-France (Pyrénées-orientales) |
Adopté par la nation le 8 octobre 1920. |
Fils de Jean
Joseph Baptiste (Cultivateur) et de Victorine Marie Madeleine Rousset. |
Marié à Tarbes le
4 juin 1929 avec Paulette Alexandrine Augustine Beral |
Décédé le 1
janvier 1989 à Perpignan. |
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Il
s'engage au 24° Régiment d'Artillerie Divisionnaire (RAD) à Tarbes,
2° classe puis Brigadier. |
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Il est Maréchal des Logis en 1935. |

(Source : Gallica -
JO du 12/05/1935) |
Il est ensuite MDL chef, puis adjudant et adjudant chef au 24° RAD. |
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Il est nommé sous-Lieutenant à titre temporaire le 1 juin 1940 au 14°
régiment d'artillerie. |
Il est interné au fort de Queuleu près de Metz en juin et s'en évade en
septembre 1940. |
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Réinvesti par les troupes allemandes en juin 1940, le fort de Queuleu
sert de camp de détention pour prisonniers de guerre. Le Fronstalag 212,
en activité du 20 juillet 1940 au 2 décembre 1940 au fort de Queuleu,
voit l’internement de prisonniers de guerres belges et français
provenant notamment du secteur fortifié de Crusnes (Meurthe-et-Moselle)
de la Ligne Maginot. Le 3 décembre 1940, le camp prend la dénomination
de Fronstalag XII E
( Source :
www.fort-queuleu.com/frise-chronologique/) |
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La convention d'armistice signée le 22 juin 1940 autorise la
reconstitution, en zone libre, d'une armée d'armistice, créée le 25
novembre 1940 et destinée exclusivement au "maintien de l'ordre
intérieur". Les effectifs sont fixés à 100 000 hommes en France (dont 6
000 gardes mobiles), auxquels s'ajoutent 60 000 gendarmes, 10 000
pompiers de Paris et 15 000 travailleurs coloniaux (malgaches et
indochinois stationnés dans le sud-est de la France). |
Les unités sont réparties au sein de 8 divisions militaires (ex régions
militaires) : la VII° à Bourg-en-Bresse, la IX° à Châteauroux, la XII° à
Limoges, la XIll° à Clermont-Ferrand, la XlV°
à Lyon, la XV° à Marseille, la XVI° à Montpellier et la XVIl° à
Toulouse. Chaque division dispose de trois régiments d'infanterie, d'un
régiment d'artillerie à trois groupes de 75, d'un régiment de cavalerie,
d'un bataillon du génie, d'un groupe de transmissions, d'une compagnie
de transport mais également des services de l'intendance, du service de
santé... |
L'effectif réduit de cette nouvelle armée permet de recentrer le
recrutement sur une élite jeune. Elle est composée essentiellement
d'engagés servant sous contrat de 3 à 5 ans, encadrés par 4 000
officiers et 15 000 sous-officiers. Pour maintenir un recrutement
constant et attirer des jeunes dans ses rangs, les autorités militaires
sont contraintes de rendre l'image de cette armée d'armistice attractive
(soldes intéressantes, tenues plus " modernes'). |
Le concept " d'armée nouvelle " est alors inventé par l'état-major de
l'armée pour susciter les engagements. |
Afin de souder les effectifs et de développer l'esprit de corps, des
cérémonies et prises d'armes, des compétitions sportives, des exercices
et des manœuvres interarmes sont régulièrement organisés.
Les artilleurs du 24° RA ou RAD (Régiment d'artillerie divisionnaire)
effectuent un exercice de mise en batterie de canons de 75 au camp de
Ger.
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(
Source :
imagesdefense.gouv.fr/fr/l-armee-d-armistice-le-24e-ra-stationne-a-tarbes-hautes-pyrenees) |
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Il est nommé Aspirant à titre définitif le 1 septembre 1940 au 24° RAD à
Tarbes |
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En
1941, il entre dans la police. |
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Nommé officier de paix de 1° classe il est mis a disposition du préfet
de toulouse pour être affecté dans l'un des GMR créé dans la région. |

(Source : Gallica -
JO du 18/10/1941) |
Affectation à confirmer.... Homonyme ??? |
...........? |
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Du 5 au 31 décembre 1943, il effectue des sabotages et diverses missions
dans le région de Dijon. |
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Le 1 août 1944, il rejoint ensuite le maquis de l'Aveyron dans la région
de Prévinquières sous les ordres du chef de Bataillon Wurtz commandant
du maquis "Du Guesclin". |
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Il participe dans la nuit du 13 au 14 août 1944 à la récupération d'un
parachutage près de Cassagnes (Aveyron). |
A la dissolution du maquis de l'Aveyron le 01/10/1944, il est affecté au
1er Bataillon FFI devenu par la suite 5° Bataillon puis Bataillon de
sécurité Aveyron, Lozère. Parti en renfort aux armées le 29/01/1945 il
est devenu 3° Bataillon du 91° RI rattaché à la 9° D.I.C. (Division
d'Infanterie Coloniale). |
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Après la libération, il est lieutenant le 25/12/1944 et Capitaine le
01/07/1950 |
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..............? |
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