BIOGRAPHIE  DE  JEAN-PIERRE MARQUETTE
 
 
Né le 24 novembre 1900  à Cocumont   (Lot-et-Garonne)   
Fils de Pierre Etienne Bernard Joseph (Ferblantier-Zingueur) et de Marie Lestrade.
Marié à Meihan-sur-garonne le 6 avril 1934 à Marie Nouguey
Ajusteur mécanicien
Décédé le 2 août 1981 à Marmande
 
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Armée active    Matricule 349/1
 
Incorporé à la 12° section comme ouvrier aviation le 8 octobre 1920 et dirigé sur l'école d'Istres 14° SOA en qualité d'élève pilote le 31/01/1921.
 
Passe 2° GOA le 01/07/1922  - passe dans la disponibilité le 25/09 1922.
 
Dans la réserve
Dans la réserve le 01/10/1922. Affecté au 31° R Aviation à Tours se retire à Cocumont.
 
Affecté au 36° Groupe d'Aviation le 01/01/1924
Affecté au 12° génie le 21/03/1926 - Désafecté du 12°Génie au profit du CMI 172 le 15/02/1927.
Passe à la classe de mobilisation 1914 comme père de 3 enfants vivants.
 
Rappelé à L'activité le 02/09/1939 et affecté à la 5° cie du groupement d'ouvriers de renforcement à la poudrière Nationale de Saint Médard, arrivé au corps le 09/09/1939
Passe à la classe de mobilisation PA2R comme père de 4 enfants. Renvoyé dans ses foyers le 11.05.1940 et rayé des contrôles le dit jour.
 
Il refuse de partir pour l'allemagne et devient réfractaire au STO, il entre dans la police.
 
En 1942, il est nommé Officier de paix au corps urbain de Toulouse

(Source : Gallica  -  JO du 6 février 1942)
 
En mai 1943, il est Officier de paix de 1° classe au GMR "Gascogne"

(Source : Gallica  -  JO du 31 mai 1943)
 
ll héberge des réfractaires de juin 1943 à octobre 1943.
 
Il s'engage dans les FFI et fera parti du FTPF de la Gironde du 10/11/1943 au 28/08 1944
 
En mars 1944, il est nommé sur place Officier de Paix Principal au GMR "Gascogne"

(Source : Gallica  -  JO du 01 avril 1944)
 
En juin 1944, il est nommé Officier de Paix Principal au GMR "Haut-Quercy"

(Source : Gallica  -  JO du 09 juin 1944)
 

Agent permanent du groupe Morhange

Selon Pierre Rous le successeur de Morhange à la tête du réseau éponyme : " Le commandant Marquette était entièrement de nos idées et avait réussi à entrainer derrière lui un bon nombre de ses hommes des gardes mobiles de réserve".

(Rémy Morhange, les chasseurs de traîtres, Flammarion 1975 p87)
 
En avril 1945, il est officier principal de 3° classe à la CRS n° 3

(Source : Gallica  -  JO du 19 avril 1945)
 
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